Passer au contenu principal Passer au clavardage

Comment passer du statut d’accro du magasinage à celui d’accro des économies

Ces changements de mode de vie m’ont permis d’économiser en moyenne 200 $ par semaine.

20 juillet 2023

Écrit par Amaara Dhanji

À retenir

 
  • Après la pandémie, je suis passée du statut de dépensière à celui d’épargnante.

  • Vous pouvez réduire vos habitudes de magasinage en trouvant de meilleures stratégies d’adaptation, en vous désabonnant des courriels promotionnels et en planifiant des audits de votre espace de vie.

  • Ces changements de mode de vie m’ont permis d’économiser en moyenne 200 $ par semaine.

How one shopaholic became a saveaholic

Je dois faire un aveu : autrefois, j’étais terriblement dépensière. J’étais une acheteuse impulsive et le magasinage me servait de mécanisme d’adaptation face à la tristesse ou au stress. Je ne faisais jamais le suivi de mes dépenses ou de mon épargne. Bien que cela ait été excellent pour ma garde-robe, je ne peux pas vraiment en dire autant de mon compte bancaire.

Puis vint la pandémie. Comme j’étais coincée à la maison, je me suis enfin décidée à désencombrer mon espace de vie et à examiner mes finances de plus près. Ce n’était pas beau à voir. J’ai réalisé que mon mantra de « j’aurai bien le temps de gagner de l’argent plus tard » ne faisait pas de cadeaux à mon avenir. Le moment était venu de passer du statut d’accro du magasinage à celui d’accro des économies.

Voici un exemple de ce à quoi ressemblait une semaine typique pour mon portefeuille :

Lundi

  • Je prenais les transports en commun pour me rendre au travail et je rechargeais ma carte mensuelle. 50 $ 
  • Au retour, je m’arrêterais à l’épicerie pour faire mes courses pour les deux semaines à venir. 150 $ 
  • J’achetais un repas pour emporter, car j’étais trop fatiguée pour cuisiner. 25 $

Mardi

  • Question de rendre le trajet plus agréable, je m’offrais un café en me rendant au bureau. 5 $ 
  • Je suivais une séance d’entraînement en rentrant du travail. 20 $

Mercredi

  • Je renouvelais mon abonnement mensuel de musique en continu. 10 $
  • J’achetais de jolis articles ménagers en ligne quand je m’ennuyais au travail. 40 $ 
  • J’allais souper au centre-ville avec des amis. 50 $

Jeudi

  • Je m’offrais une séance de magasinage en ligne pour décompresser du stress du travail. 300 $

Vendredi

  • Comme il ne me restait plus de repas préparés pour le dîner, je commandais quelque chose d’un resto à proximité du bureau. 17 $ 
  • Vendredi soir rimait avec sortie au bar. 60 $

La fin de semaine

  • Séance d’entraînement du samedi matin. 20 $ 
  • Sur le chemin du retour, je ramasserais du matériel d’art pour un projet de bricolage. 15 $ 
  • Ensuite, un brunch avec mes amis suivi d’une sortie au cinéma 60 $

Dépenses totales pour une semaine : 582 $

Après avoir passé mes finances au peigne fin, je me suis promis d’améliorer mes habitudes de consommation. Outre la mise en place d’un budget, voici quelques-uns des autres changements que j’ai apportés :

  1. Je me suis désabonnée des courriels promotionnels : Mon magasinage impulsif était souvent alimenté par la réception d’un courriel annonçant des soldes. À partir du moment où je me suis désabonnée des campagnes de courriel de toutes ces marques, mon envie de magasiner en ligne a diminué de façon spectaculaire. Évidemment, je profite des soldes de temps en temps, mais uniquement lorsque cela me convient.
  2. J’ai trouvé d’autres stratégies d’adaptation : Le début de la pandémie m’a fait réaliser que j’utilisais n’importe quelle excuse émotionnelle comme raison de magasiner. Triste? Achète un truc mignon. Stressée? Achète un truc mignon. Heureuse? Récompense-toi en achetant un truc mignon. Je n’ai pu mettre fin à cette habitude qu’en me trouvant de nouveaux passe-temps. Maintenant, quand je suis triste, je fais de la pâtisserie; quand je suis stressée, je fais du conditionnement physique, et quand je suis heureuse, je m’offre un bon repas au lieu d’une grosse dépense.
  3. Deux fois par année, je fais un audit de mon espace de vie : Ma plus grande prise de conscience fut de me rendre compte de la quantité de bric-à-brac que j’avais accumulée au fil des ans. Comme je ne dispose pas d’un immense espace de vie, je dois l’utiliser judicieusement. Ainsi, deux fois par année, je fais un audit de mon domicile pour me rappeler que j’ai tout ce dont j’ai besoin, à moins qu’un réapprovisionnement ne s’impose.

Voici à quoi ressemble une semaine typique de dépenses depuis que j’ai courbé mes habitudes de consommation.

Lundi

  • Je dois encore me rendre au travail et recharger ma carte. 50 $ 
  • Au retour, je fais l’épicerie et prépare des repas pour les prochaines semaines. 200 $
  • Souper à la maison avec les restes de la fin de semaine. Dépense : 0 $

Mardi

  • Après une journée de travail stressante, je m’offre une soirée pâtisserie en utilisant des ingrédients que j’ai déjà. Dépense : 0 $ 
  • Pendant que ça cuit, je fais une séance d’entraînement en ligne à la maison. Dépense : 0 $

Mercredi

  • Comme petit remontant, je m’offre un café tout près du bureau. 5 $ 
  • Je vais chez une amie pour souper, nous cuisinons ensemble et j’amène les boissons. 10 $

Jeudi

  • Je prépare mon café avant d’aller travailler. Dépense : 0 $ 
  • Je participe à une séance d’entraînement après le travail. 20 $

Vendredi

  • Mes amis et moi sortons souper et prendre un verre. 50 $

La fin de semaine

  • Je fais un saut au centre d’achats pour acheter des dosettes de café. 32 $ 
  • Mes amis me rendent visite pour une soirée jeux de société. Dépense : 0 $ 
  • L’envie d’un thé aux perles me prend en plein dimanche relaxant. 8 $

Dépenses totales pour une semaine : 375 $

En fin de compte, le magasinage me rendait heureuse, et cela ne changera jamais. Vous pouvez néanmoins constater qu’avec quelques changements simples à mon mode de vie, j’ai été en mesure de réduire mes dépenses hebdomadaires de plus de 200 $ (parfois moins, parfois plus). Je suis fière de pouvoir dire que je ne suis plus une accro du magasinage!

Cet article ou cette vidéo (le « contenu »), selon le cas, est publié à titre informatif seulement. Il ne doit pas être réputé offrir des conseils financiers, des conseils en placement, ou des conseils fiscaux, ni une garantie pour l’avenir ou des recommandations d’achat ou de vente. Les renseignements présentés, notamment ceux ayant trait aux taux d’intérêt, à la conjoncture des marchés, aux règles fiscales et à d’autres facteurs liés aux placements, peuvent changer sans préavis, et la Banque Tangerine n’est pas tenue de les mettre à jour. Les références aux produits, services, opinions ou déclarations de tiers, de même que l’utilisation d’un nom commercial, d’entreprise ou de société, ne constituent pas une recommandation ou une approbation par la Banque Tangerine de ces produits, service ou opinions de tiers. Même si les renseignements de tiers contenus dans le présent document proviennent de sources jugées fiables à la date de publication, la Banque Tangerine n’en garantit ni la fiabilité ni l’exactitude. Les lecteurs sont invités à consulter leur propre conseiller professionnel pour obtenir des conseils financiers, des conseils de placement ou des conseils fiscaux adaptés à leurs besoins. Ainsi, il sera tenu compte de leur situation, et les décisions seront fondées sur l’information la plus récente. 

Les Fonds d’investissement Tangerine sont gérés par Gestion d’actifs 1832 S.E.C. Fonds d’investissement Tangerine ltée est le distributeur principal des Fonds d’investissement Tangerine. Fonds d’investissement Tangerine ltée et Gestion d’actifs 1832 S.E.C. sont des filiales en propriété exclusive de la Banque de Nouvelle-Écosse. Un investissement dans un fonds commun de placement peut donner lieu à des frais de courtage, des commissions de suivi, des frais de gestion et d’autres frais. Les taux de rendement indiqués sont les rendements totaux composés annuels historiques, y compris les variations de la valeur unitaire et le réinvestissement de toutes les distributions, et ne tiennent pas compte des frais d'acquisition, de rachat, de distribution ou d'exploitation, ni des impôts sur le revenu payables par tout porteur de titres qui auraient réduit les rendements. Veuillez lire le prospectus avant de faire un placement. Les fonds communs de placement ne sont pas garantis, leur valeur fluctue souvent et leur rendement passé n’est pas indicatif de leur rendement dans l’avenir.